Dans un monde qui se digitalise à une vitesse assourdissante, modifiant radicalement en l'espace d'une génération la manière dont les entreprises et les personnes interagissent, les métiers du credit management et du recouvrement de créances en B to B, qui représentent la partie financière de la relation commerciale, sont également en pleine transformation.
Tout métier se base sur l'association de méthodes et d'outils. Lorsque les outils changent, les méthodes évoluent également, et cela transforme parfois très fortement l'ensemble des caractéristiques du métier en question et des personnes qui le pratiquent.
Les métiers du credit management et du recouvrement sont en cours de transformation accélérée. Pourquoi ? Parce que la digitalisation rend obsolète 80% de ce qui les constituait il y a encore quelques années, qu'elle offre de nouvelles possibilités et perspectives, et qu'elle exige de nouvelles compétences. La bonne nouvelle est que ces métiers sont de plus en plus intéressants, car la numérisation et les algorithmes permettent à l'humain d'exprimer pleinement son potentiel.
Non seulement, ils l'affranchissent des tâches administratives et sans valeur ajoutée, mais ils le portent et renforcent sa position dans l'entreprise et dans la relation commerciale. Oui, le digital permet d'embarquer l'ensemble des acteurs de la relation commerciale sur les enjeux et les raisons d'être du credit manager, qui rompt ainsi son isolement légendaire, autrefois animal atypique esseulé et exposé aux feux croisés d'acteurs aux intérêts en apparence antagonistes et qui ne le comprenaient pas.
Grâce aux outils digitaux, son pouvoir de conviction est démultiplié, sa place renforcée et rendue incontestable, car les autres acteurs : commerciaux, ADV, direction, clients, etc., sont dorénavant parties prenantes, impliqués, sollicités et challengés, car le credit management a pris sa place dans l'entreprise grâce à une solution digitale interconnectée et collaborative, dont la présence est immensément plus puissante que la simple parole d'un credit manager.
Ainsi, la digitalisation de la fonction credit management transforme profondément la culture d'entreprise qui intègre beaucoup plus facilement les enjeux liés à la gestion du risque client, au recouvrement et à la gestion des litiges, à la performance du processus de vente dont le succès se matérialise par le paiement final du client.
L'amélioration de la trésorerie grâce à des encaissements plus rapides, une meilleure satisfaction client grâce à un traitement systématique et efficace des litiges, la préservation de la rentabilité grâce à une gestion du risque client pertinente et structurée, la crédibilité de l'entreprise auprès de ses clients améliorée, car elle utilise des outils et des méthodes efficaces, deviennent des évidences partagées par l'ensemble des acteurs de l'entreprise.
Alors oui, que de bénéfices pour les entreprises et les personnes grâce à la numérisation de nos fonctions. Celle-ci est d'ailleurs inéluctable et inhérente aux cycles d'évolutions parfois radicales de l'économie. N'oublions pas que l'humanité a connu dans le passé des transformations encore plus fortes et impactantes que l'avènement de l'informatique et de l'IA. En quelques décennies en France, l'activité agricole, qui occupait 75% de la population, est passée à moins de 1%. Quel changement économique et social !
Alors n'ayons pas peur et embrassons cette évolution enthousiasmante qui révolutionne nos métiers en leur apportant un dynamisme et un punch inconnus jusqu'alors !
Tout métier se base sur l'association de méthodes et d'outils. Lorsque les outils changent, les méthodes évoluent également, et cela transforme parfois très fortement l'ensemble des caractéristiques du métier en question et des personnes qui le pratiquent.
Les métiers du credit management et du recouvrement sont en cours de transformation accélérée. Pourquoi ? Parce que la digitalisation rend obsolète 80% de ce qui les constituait il y a encore quelques années, qu'elle offre de nouvelles possibilités et perspectives, et qu'elle exige de nouvelles compétences. La bonne nouvelle est que ces métiers sont de plus en plus intéressants, car la numérisation et les algorithmes permettent à l'humain d'exprimer pleinement son potentiel.
Non seulement, ils l'affranchissent des tâches administratives et sans valeur ajoutée, mais ils le portent et renforcent sa position dans l'entreprise et dans la relation commerciale. Oui, le digital permet d'embarquer l'ensemble des acteurs de la relation commerciale sur les enjeux et les raisons d'être du credit manager, qui rompt ainsi son isolement légendaire, autrefois animal atypique esseulé et exposé aux feux croisés d'acteurs aux intérêts en apparence antagonistes et qui ne le comprenaient pas.
Grâce aux outils digitaux, son pouvoir de conviction est démultiplié, sa place renforcée et rendue incontestable, car les autres acteurs : commerciaux, ADV, direction, clients, etc., sont dorénavant parties prenantes, impliqués, sollicités et challengés, car le credit management a pris sa place dans l'entreprise grâce à une solution digitale interconnectée et collaborative, dont la présence est immensément plus puissante que la simple parole d'un credit manager.
Ainsi, la digitalisation de la fonction credit management transforme profondément la culture d'entreprise qui intègre beaucoup plus facilement les enjeux liés à la gestion du risque client, au recouvrement et à la gestion des litiges, à la performance du processus de vente dont le succès se matérialise par le paiement final du client.
L'amélioration de la trésorerie grâce à des encaissements plus rapides, une meilleure satisfaction client grâce à un traitement systématique et efficace des litiges, la préservation de la rentabilité grâce à une gestion du risque client pertinente et structurée, la crédibilité de l'entreprise auprès de ses clients améliorée, car elle utilise des outils et des méthodes efficaces, deviennent des évidences partagées par l'ensemble des acteurs de l'entreprise.
Alors oui, que de bénéfices pour les entreprises et les personnes grâce à la numérisation de nos fonctions. Celle-ci est d'ailleurs inéluctable et inhérente aux cycles d'évolutions parfois radicales de l'économie. N'oublions pas que l'humanité a connu dans le passé des transformations encore plus fortes et impactantes que l'avènement de l'informatique et de l'IA. En quelques décennies en France, l'activité agricole, qui occupait 75% de la population, est passée à moins de 1%. Quel changement économique et social !
Alors n'ayons pas peur et embrassons cette évolution enthousiasmante qui révolutionne nos métiers en leur apportant un dynamisme et un punch inconnus jusqu'alors !