J’ai été saisi, Monsieur le Président, par l’hommage à Samuel Paty. La puissance des mots réaffirmant les principes républicains, eux-mêmes issus des Lumières. Le discours aux instituteurs chargés, non pas de créer des fidèles au pouvoir en place, mais de développer l’esprit d’analyse, l’autonomie intellectuelle empreinte d’humanisme et de développement de la connaissance.
Créer des citoyens ; dont la clairvoyance est la première garantie de la République, du maintien d’une organisation humaine qui ne repose pas sur la force et l’oppression des opposants mais sur l’intelligence et le droit.
Appliquez-vous les principes républicains dans les faits ou faites-vous de la prose littéraire tout en agissant à l’opposé des principes si bien énoncés ?
Raison et science ? Vous utilisez sans cesse l’argumentaire de la peur pour convaincre. Manipulation des chiffres sans aucune pédagogie ni mise en perspective, prévision de 400 000 morts pour justifier vos mesures douteuses de confinement, démagogie sur les effets du virus et les séquelles qu’il engendre. Obligations du port du masque en extérieur et pour les enfants, mesures que les scientifiques réfutent avec la plus grande clarté, etc. Les exemples sont innombrables.
Or, la peur est destructrice et se situe à l’opposé de la raison simplement car elle joue sur la fibre émotionnelle qui n’a rien de rationnelle. Il est impossible de raisonner en ayant peur. En activant en permanence cette peur, vous affaiblissez les personnes qui y sont sensibles de même que la République qui reste toujours un édifice fragile.
Que dire de vos dépenses ? Vous avez lâché sur tout. En 9 mois, l’endettement de la France a autant augmenté qu’en 10 ans, période pourtant déjà déplorable en la matière et qui inclut les dépenses exceptionnelles de la crise de 2009, sans que cela n’améliore le secteur qui devrait accaparer les attentions et les financements : l’Hôpital et la santé.
La dépense publique sert non pas à un plan de relance de type keynésien mais à indemniser partiellement des entreprises et des personnes qui avaient du travail, qui produisaient de la valeur mais que l’Etat a forcé à fermer pour de mauvaises raisons.
Le principe de bon sens d’équilibre nécessaire entre les recettes et les dépenses qui était déjà compliqué à tenir est maintenant inaudible pour des années voire des décennies au vu de la facilité avec laquelle vous avez mis sur la table des centaines de milliards d’euros.
Quelles sont les conséquences possibles à terme ? Perte de souveraineté, implosion de l’Euro, les pays bons gestionnaires n’accepteront plus de payer pour les mauvais, puis dévaluation et appauvrissement général, mise sous tutelle du FMI ? Tels sont les scénarios qui deviennent plausibles.
Humanisme ?
Vos décisions de confinement sont la synthèse de vos renoncements. Mesures primaires, elles comportent en leur sein un condensé de peur, voire de panique, de décisions arbitraires qui créent autant de drames que d’individus, autant d’injustices que d’entreprises fermées de force.
La profonde absurdité de ces diktats implique de l’autoritarisme pour être appliqués. Ainsi, tout citoyen, dirigeant d’entreprise ne respectant pas cette règlementation pourtant à l’opposé des principes républicains : liberté, égalité, fraternité, se verra réprimandé par des amendes et du pénal.
N’affirmiez-vous pas lors de votre discours d’hommage « qu’un républicain ne doit ni foi, ni obéissance à personne, que c’est à lui de chercher la vérité et non pas à la recevoir toute faite d’un maître, d’un directeur, d’un chef, quel qu’il soit » ?
Que dire de la profonde bêtise d’un système qui amène quelques individus, fussent-ils ministres, à décider arbitrairement si tel type d’entreprise peut rester ouvert ou doit fermer ?
Nous sommes un pays de 67 millions d’habitants et de 2,4 millions d’entreprises Monsieur le Président. Ce type de décision arbitraire prise dans une tour d’ivoire aboutit nécessairement à l’absurde et à l’injustice dans leur application dans le monde réel.
Vous pilotez la crise du Covid sur la base d’indicateurs de contamination, de taux d’occupation des capacités hospitalières. L’ensemble de la stratégie économique et sociale de la France dépend de ces quelques chiffres. Tout ce qui ne dépend pas de ces indicateurs largement imparfaits, et qui est pourtant immensément plus grand est ignoré ou négligé : situation et avenir des jeunes, santé mentale, moral, innombrables conséquences directes et indirectes de vos décisions.
Vous jouez aux apprentis sorciers de manière irresponsable et sacrifiez tout à vos chiffres et à l’avis de conseils (i.e. conseil scientifique) dont le prisme est extrêmement restreint, et dont l’intégrité par rapport à des intérêts particuliers est sujette à caution.
Par vos décisions, ne créez-vous pas un doute sur votre propre intégrité ? Le confinement version 2 profite massivement aux GAFA et autres grandes enseignes au détriment des petits commerces. Pourquoi ?
Quel arbitraire de décider qu’un caviste est plus essentiel qu’un libraire. Livre qui sera acheté sur Amazon, modifiant ainsi durablement les habitudes d’achats des consommateurs. Quel arbitraire de fermer les magasins de jouet à la veille de Noël alors que les vendeurs de jouet en ligne se frottent les mains. Quel arbitraire de fermer les petits commerces quand les enseignes de grande distribution restent ouvertes. Ces quelques exemples peuvent être répétés à l’infini.
Ne comprenez-vous pas que si ces mesures de fermetures arbitraires ont une efficacité plus que douteuse dans la lutte contre le virus, elles sont par leur nature déraisonnables, profondément injustes et à ce titre inacceptables dans une République ? Vous créez vous-même des problèmes insolubles conséquences de mesures souvent inefficaces.
Comment croire que les Lobbys et intérêts particuliers ne jouent pas dans ces choix qui mettent à bas des entreprises et la vie de certains de nos concitoyens ?
Ou se trouve la limite avec l’abus de pouvoir ? N’est-elle pas déjà largement dépassée quand l’Etat restreint drastiquement la liberté de circuler, de travailler et de respirer ?
N’est-ce pas encore une rhétorique abusive de laisser entendre que la diffusion du virus serait de la faute des français, des jeunes, coupables de ne pas suffisamment respecter les mesures gouvernementales, sombre écho à l’extrême droite de 1940 qui reportait la responsabilité de la défaite militaire vers le peuple car « l’esprit de jouissance l’a emporté sur l’esprit de sacrifice », phrase que nous pourrions entendre aujourd’hui de la part de vos ministres.
N’est-il pas inacceptable d’appeler à une valeur républicaine, le civisme, pour inciter les citoyens au respect de mesures défaitistes qui n’ont rien de républicaines ?
Comment pouvez-vous demander aux forces de l’ordre d’allouer une partie significative de leurs ressources à contrôler les attestations de sorties de millions de français, document insipide, alors qu’elles manquent de moyens pour leurs véritables missions : insécurité, menace terroriste, etc. ? N’ont-elles pas d’autres chats à fouetter ?
Mr le Président, vous avez rendu un bel et puissant hommage à Samuel Paty et à l’esprit républicain. Dans les faits et la gestion du la crise du covid, vous vous fourvoyez et piétinez les principes mêmes de la République.
Le confinement est un aveu d’impuissance mais pour vous le pire est de le reconnaître. Ainsi vous préférez prendre des mesures restrictives, fussent-elles iniques et inefficaces, simplement pour montrer que vous agissez. Vous utilisez la peur et l’autorité pour justifier ce qui ne l’est pas par la raison.
Ainsi vous ne défendez ni la France et les français, ni la République, mais les intérêts propres de votre présidence et de votre gouvernement qui veut éviter,quoi qu’il en coûte, de paraître impuissant face au virus.
Que proposez-vous me répondriez-vous à juste titre. La critique est facile, l’action l’est beaucoup moins.
Vous dites que nous sommes en guerre ? Soit.
On ne gagne pas une guerre avec un peuple qui se terre chez lui. On ne gagne pas une guerre en diffusant la peur de son adversaire. On ne gagne pas une guerre avec du défaitisme qui présente chaque jour l’avenir comme une punition.
La guerre, on la gagne avec de la volonté. On la gagne en mobilisant les ressources humaines, financières et matérielles de son pays pour faire face. On la gagne avec un leader qui donne un objectif, un cap pour l’atteindre et qui entraine avec lui son peuple. Voilà comment on gagne la guerre !
Je vous engage à changer radicalement de stratégie pour que le pays et chacun de ses citoyens se donnent les moyens de vaincre le virus :
Acceptons la réalité de notre monde actuel, qui rend notre modèle économique et sociale si fragile face à un virus et adaptons-nous en conséquence.
Pour cette crise qu’aura été un jour le coronavirus, la relance se sera faite via le médical.
Le résultat de cette stratégie sera une société et des citoyens en ordre de bataille pour faire face à la crise, et qui s’est donné à elle-même et à chacun les moyens de combattre en amont en étant acteur de sa santé et productif, et en aval avec un système de santé dynamique et réactif.
Le résultat de cette stratégie sera de nous adapter au monde actuel en appliquant les principes fondateurs des lumières : Raison, Science et Humanisme. C’est une transformation.
Halte au défaitisme et au repli sur soi. Levons-nous, grandissons et agissons.
Créer des citoyens ; dont la clairvoyance est la première garantie de la République, du maintien d’une organisation humaine qui ne repose pas sur la force et l’oppression des opposants mais sur l’intelligence et le droit.
Raison, science et humanisme
Pourquoi cet hommage et la mise en scène des principes républicains me sont-ils apparus comme une parenthèse ? Vivant précisément en République, ne devraient-ils pas être une constante dans le débat public, votre discours et celui de votre gouvernement ?Appliquez-vous les principes républicains dans les faits ou faites-vous de la prose littéraire tout en agissant à l’opposé des principes si bien énoncés ?
Raison et science ? Vous utilisez sans cesse l’argumentaire de la peur pour convaincre. Manipulation des chiffres sans aucune pédagogie ni mise en perspective, prévision de 400 000 morts pour justifier vos mesures douteuses de confinement, démagogie sur les effets du virus et les séquelles qu’il engendre. Obligations du port du masque en extérieur et pour les enfants, mesures que les scientifiques réfutent avec la plus grande clarté, etc. Les exemples sont innombrables.
Or, la peur est destructrice et se situe à l’opposé de la raison simplement car elle joue sur la fibre émotionnelle qui n’a rien de rationnelle. Il est impossible de raisonner en ayant peur. En activant en permanence cette peur, vous affaiblissez les personnes qui y sont sensibles de même que la République qui reste toujours un édifice fragile.
Que dire de vos dépenses ? Vous avez lâché sur tout. En 9 mois, l’endettement de la France a autant augmenté qu’en 10 ans, période pourtant déjà déplorable en la matière et qui inclut les dépenses exceptionnelles de la crise de 2009, sans que cela n’améliore le secteur qui devrait accaparer les attentions et les financements : l’Hôpital et la santé.
La dépense publique sert non pas à un plan de relance de type keynésien mais à indemniser partiellement des entreprises et des personnes qui avaient du travail, qui produisaient de la valeur mais que l’Etat a forcé à fermer pour de mauvaises raisons.
Le principe de bon sens d’équilibre nécessaire entre les recettes et les dépenses qui était déjà compliqué à tenir est maintenant inaudible pour des années voire des décennies au vu de la facilité avec laquelle vous avez mis sur la table des centaines de milliards d’euros.
Quelles sont les conséquences possibles à terme ? Perte de souveraineté, implosion de l’Euro, les pays bons gestionnaires n’accepteront plus de payer pour les mauvais, puis dévaluation et appauvrissement général, mise sous tutelle du FMI ? Tels sont les scénarios qui deviennent plausibles.
Humanisme ?
Vos décisions de confinement sont la synthèse de vos renoncements. Mesures primaires, elles comportent en leur sein un condensé de peur, voire de panique, de décisions arbitraires qui créent autant de drames que d’individus, autant d’injustices que d’entreprises fermées de force.
La profonde absurdité de ces diktats implique de l’autoritarisme pour être appliqués. Ainsi, tout citoyen, dirigeant d’entreprise ne respectant pas cette règlementation pourtant à l’opposé des principes républicains : liberté, égalité, fraternité, se verra réprimandé par des amendes et du pénal.
N’affirmiez-vous pas lors de votre discours d’hommage « qu’un républicain ne doit ni foi, ni obéissance à personne, que c’est à lui de chercher la vérité et non pas à la recevoir toute faite d’un maître, d’un directeur, d’un chef, quel qu’il soit » ?
Que dire de la profonde bêtise d’un système qui amène quelques individus, fussent-ils ministres, à décider arbitrairement si tel type d’entreprise peut rester ouvert ou doit fermer ?
Nous sommes un pays de 67 millions d’habitants et de 2,4 millions d’entreprises Monsieur le Président. Ce type de décision arbitraire prise dans une tour d’ivoire aboutit nécessairement à l’absurde et à l’injustice dans leur application dans le monde réel.
Vous pilotez la crise du Covid sur la base d’indicateurs de contamination, de taux d’occupation des capacités hospitalières. L’ensemble de la stratégie économique et sociale de la France dépend de ces quelques chiffres. Tout ce qui ne dépend pas de ces indicateurs largement imparfaits, et qui est pourtant immensément plus grand est ignoré ou négligé : situation et avenir des jeunes, santé mentale, moral, innombrables conséquences directes et indirectes de vos décisions.
Vous jouez aux apprentis sorciers de manière irresponsable et sacrifiez tout à vos chiffres et à l’avis de conseils (i.e. conseil scientifique) dont le prisme est extrêmement restreint, et dont l’intégrité par rapport à des intérêts particuliers est sujette à caution.
Par vos décisions, ne créez-vous pas un doute sur votre propre intégrité ? Le confinement version 2 profite massivement aux GAFA et autres grandes enseignes au détriment des petits commerces. Pourquoi ?
Quel arbitraire de décider qu’un caviste est plus essentiel qu’un libraire. Livre qui sera acheté sur Amazon, modifiant ainsi durablement les habitudes d’achats des consommateurs. Quel arbitraire de fermer les magasins de jouet à la veille de Noël alors que les vendeurs de jouet en ligne se frottent les mains. Quel arbitraire de fermer les petits commerces quand les enseignes de grande distribution restent ouvertes. Ces quelques exemples peuvent être répétés à l’infini.
Ne comprenez-vous pas que si ces mesures de fermetures arbitraires ont une efficacité plus que douteuse dans la lutte contre le virus, elles sont par leur nature déraisonnables, profondément injustes et à ce titre inacceptables dans une République ? Vous créez vous-même des problèmes insolubles conséquences de mesures souvent inefficaces.
Comment croire que les Lobbys et intérêts particuliers ne jouent pas dans ces choix qui mettent à bas des entreprises et la vie de certains de nos concitoyens ?
Ou se trouve la limite avec l’abus de pouvoir ? N’est-elle pas déjà largement dépassée quand l’Etat restreint drastiquement la liberté de circuler, de travailler et de respirer ?
N’est-ce pas encore une rhétorique abusive de laisser entendre que la diffusion du virus serait de la faute des français, des jeunes, coupables de ne pas suffisamment respecter les mesures gouvernementales, sombre écho à l’extrême droite de 1940 qui reportait la responsabilité de la défaite militaire vers le peuple car « l’esprit de jouissance l’a emporté sur l’esprit de sacrifice », phrase que nous pourrions entendre aujourd’hui de la part de vos ministres.
N’est-il pas inacceptable d’appeler à une valeur républicaine, le civisme, pour inciter les citoyens au respect de mesures défaitistes qui n’ont rien de républicaines ?
Comment pouvez-vous demander aux forces de l’ordre d’allouer une partie significative de leurs ressources à contrôler les attestations de sorties de millions de français, document insipide, alors qu’elles manquent de moyens pour leurs véritables missions : insécurité, menace terroriste, etc. ? N’ont-elles pas d’autres chats à fouetter ?
Mr le Président, vous avez rendu un bel et puissant hommage à Samuel Paty et à l’esprit républicain. Dans les faits et la gestion du la crise du covid, vous vous fourvoyez et piétinez les principes mêmes de la République.
Le confinement est un aveu d’impuissance mais pour vous le pire est de le reconnaître. Ainsi vous préférez prendre des mesures restrictives, fussent-elles iniques et inefficaces, simplement pour montrer que vous agissez. Vous utilisez la peur et l’autorité pour justifier ce qui ne l’est pas par la raison.
Ainsi vous ne défendez ni la France et les français, ni la République, mais les intérêts propres de votre présidence et de votre gouvernement qui veut éviter,quoi qu’il en coûte, de paraître impuissant face au virus.
Que proposez-vous me répondriez-vous à juste titre. La critique est facile, l’action l’est beaucoup moins.
Vous dites que nous sommes en guerre ? Soit.
On ne gagne pas une guerre avec un peuple qui se terre chez lui. On ne gagne pas une guerre en diffusant la peur de son adversaire. On ne gagne pas une guerre avec du défaitisme qui présente chaque jour l’avenir comme une punition.
La guerre, on la gagne avec de la volonté. On la gagne en mobilisant les ressources humaines, financières et matérielles de son pays pour faire face. On la gagne avec un leader qui donne un objectif, un cap pour l’atteindre et qui entraine avec lui son peuple. Voilà comment on gagne la guerre !
Je vous engage à changer radicalement de stratégie pour que le pays et chacun de ses citoyens se donnent les moyens de vaincre le virus :
- Tout le monde à son poste ! Annulation de l’ensemble des fermetures de commerces, salles de sport, de spectacle, etc. Chacun doit jouer son rôle et faire son travail, étudier, aller au cinéma, Vivre plutôt que dépérir !
- Redéfinition avec chaque secteur d’activité de mesures sanitaires adaptées et incontournables.
- Maintien d’un confinement volontaire pour les personnes à risque et qui s’estiment à risque, qui ont peur (7 mois de communication anxiogène ont fait des dégâts). Fourniture à ces personnes de moyens de protections efficaces (masques FFP2, etc.).
- Mise en place d’une chaîne de solidarité pour soutenir ces personnes matériellement (courses, soins, …) et moralement. Formation et soutien financier à cette chaîne.
- Réaffectation de l’intégralité des moyens financiers auparavant prévus pour indemniser les personnes en chômage partiel et au plan de relance au système de santé qui bénéficiera ainsi de financements massifs pour :
- Immédiatement revaloriser les salaires des soignants de 30% pour remobiliser le personnel existant, stopper l’érosion des ressources et renforcer l’attractivité de l’Hôpital.
- Prendre l’ensemble des dispositions à court terme permettant d’augmenter au maximum la capacité et la qualité d’accueil des malades.
- Pour le moyen terme, lancer immédiatement des investissements massifs pour construire des Hôpitaux, former du personnel, investir dans la recherche.
- Former les citoyens et miser sur l’ensemble des actions préventives que chacun d’entre nous peut faire pour renforcer son système immunitaire et s’isoler du virus tout en continuant de vitre et de travailler. Alimentation, activité physique, méditation, etc. Rendons chacun acteur de sa santé au lieu d’apeurer dans une posture attentiste et confinée par nature fragile.
- Eclairer les conflits d’intérêts des médecins intervenant dans les médias et auprès du pouvoir.
Acceptons la réalité de notre monde actuel, qui rend notre modèle économique et sociale si fragile face à un virus et adaptons-nous en conséquence.
Pour cette crise qu’aura été un jour le coronavirus, la relance se sera faite via le médical.
Le résultat de cette stratégie sera une société et des citoyens en ordre de bataille pour faire face à la crise, et qui s’est donné à elle-même et à chacun les moyens de combattre en amont en étant acteur de sa santé et productif, et en aval avec un système de santé dynamique et réactif.
Le résultat de cette stratégie sera de nous adapter au monde actuel en appliquant les principes fondateurs des lumières : Raison, Science et Humanisme. C’est une transformation.
Halte au défaitisme et au repli sur soi. Levons-nous, grandissons et agissons.