C'est bien connu, la promesse est le moyen le plus facile pour se faire élire en politique, fusse-t-elle irréaliste voire dangereuse.
De ce principe séculaire appliqué depuis des décennies en France et ailleurs, découle une défiance grandissante envers les politiques qui, bien évidemment, ne peuvent respecter leurs engagements. Quand bien même une mesure est-elle appliquée que son effet sur un seul individu n'est que peu perceptible. Le politique promet, l'électeur attend de lui qu'il résolve ses problèmes, ce qui n'est pas le cas.
Pourrait-on croire que cela ramène à raison ? Bien au contraire, nombreux sont ceux qui se réfugient vers un autre vendeur d'illusions.
Un certain Coluche disait : "le loto est l'impôt des cons". En réalité, c'est l'achat d'un peu de rêve. Après chaque tirage, au lieu de se résigner à l'implacable réalité des probabilités, on préfère continuer à s'acheter une parcelle d'illusion, sans cesse frustrée.
Le même principe s'applique en politique. Plutôt que de préférer la raison et de faire face aux problèmes et difficultés, on préfère souscrire à un discours emplit de promesses de plus en plus irréalistes. On "achète" ainsi un peu de rêve, et de rancœur vis-à-vis de responsables politiques incapables de le réaliser.
La pente de la désillusion initiée il y a bien longtemps par ce procédé amène aujourd'hui à une possible accession au pouvoir des extrêmes, qui se sont nourris pendant des décennies de cette défiance grandissante. Le parti d'extrême droite, issu et composé de mouvances néo-nazi, surfe sur le fantasme d'un été français et de l'idée qu'à force de critiquer les gouvernements successifs, ils puissent prendre le pouvoir et appliquer leur doctrine nationaliste et aristocratique.
Dans un contexte économique changeant et complexe, mis sous pression par les crises géopolitiques, l'inflation et le niveau effarant des dettes souveraines, les conséquences du réchauffement climatique, le communautarisme, la gestion d'un État relève d'un numéro d'équilibriste de haut vol. Il est évident que les mesures faciles et démagogiques défendues par les extrêmes ne peuvent que déstabiliser cet équilibre déjà fragile. Les conséquences, multiples et imprévisibles, impacteraient à terme fortement les entreprises : difficultés accrues pour se financer, inflation davantage marquée (voir éclatement de la monnaie unique), tensions sociales, perte de confiance, etc.
Pourtant, les résultats économiques des dernières années allaient dans le bon sens : réindustrialisation du pays enclenchée baisse du chômage, attractivité de la France au plus au niveau, hausse du pouvoir d'achat largement supérieure à nos voisins européens, notamment pour les plus pauvres. Les grands risques restants le niveau de la dette et le défi climatique, deux sujets sur lesquels les extrêmes ne proposent rien si ce n'est de dépenser sans compter ou d'appliquer des dogmes déconnectés des réalités.
Rien n'y fait, le suicide économique et moral, incarné par l'extrême droite, tient la corde, à moins d'un sursaut de conscience.
Il est clair que l'augmentation de ces risques déjà présents doivent être anticipés par les entreprises en intégrant dans leur processus de vente les principes du credit management et d'intégrer les outils digitaux leur permettant de les mettre en œuvre de manière efficace.
La combinaison de ces processus, outils et mécanismes assurent à l'entreprise une grande capacité d'adaptation et de réaction à des événements imprévisibles. Dans ces temps d'incertitude, l'agilité ainsi que la capacité absorber un choc et à réagir sont essentiels. La trésorerie est plus que jamais reine, et sa gestion précise plus que jamais nécessaire.
De ce principe séculaire appliqué depuis des décennies en France et ailleurs, découle une défiance grandissante envers les politiques qui, bien évidemment, ne peuvent respecter leurs engagements. Quand bien même une mesure est-elle appliquée que son effet sur un seul individu n'est que peu perceptible. Le politique promet, l'électeur attend de lui qu'il résolve ses problèmes, ce qui n'est pas le cas.
Pourrait-on croire que cela ramène à raison ? Bien au contraire, nombreux sont ceux qui se réfugient vers un autre vendeur d'illusions.
Un certain Coluche disait : "le loto est l'impôt des cons". En réalité, c'est l'achat d'un peu de rêve. Après chaque tirage, au lieu de se résigner à l'implacable réalité des probabilités, on préfère continuer à s'acheter une parcelle d'illusion, sans cesse frustrée.
Le même principe s'applique en politique. Plutôt que de préférer la raison et de faire face aux problèmes et difficultés, on préfère souscrire à un discours emplit de promesses de plus en plus irréalistes. On "achète" ainsi un peu de rêve, et de rancœur vis-à-vis de responsables politiques incapables de le réaliser.
La pente de la désillusion initiée il y a bien longtemps par ce procédé amène aujourd'hui à une possible accession au pouvoir des extrêmes, qui se sont nourris pendant des décennies de cette défiance grandissante. Le parti d'extrême droite, issu et composé de mouvances néo-nazi, surfe sur le fantasme d'un été français et de l'idée qu'à force de critiquer les gouvernements successifs, ils puissent prendre le pouvoir et appliquer leur doctrine nationaliste et aristocratique.
Après la longue pente, la chute
L'argument très régulièrement répété par les électeurs de l'extrême droite non militants, "Ils n'ont jamais été au pouvoir, essayons-les, nous verrons bien", revient à dire, pour une personne malade, et pourtant suivie par les meilleurs spécialistes, à affirmer qu'elle va plutôt essayer de faire soigner son cancer par le rebouteux du village. N'ayant jamais essayé, sait-on jamais ? La course aux illusions défie toute raison et peut avoir des conséquences funestes.Dans un contexte économique changeant et complexe, mis sous pression par les crises géopolitiques, l'inflation et le niveau effarant des dettes souveraines, les conséquences du réchauffement climatique, le communautarisme, la gestion d'un État relève d'un numéro d'équilibriste de haut vol. Il est évident que les mesures faciles et démagogiques défendues par les extrêmes ne peuvent que déstabiliser cet équilibre déjà fragile. Les conséquences, multiples et imprévisibles, impacteraient à terme fortement les entreprises : difficultés accrues pour se financer, inflation davantage marquée (voir éclatement de la monnaie unique), tensions sociales, perte de confiance, etc.
Pourtant, les résultats économiques des dernières années allaient dans le bon sens : réindustrialisation du pays enclenchée baisse du chômage, attractivité de la France au plus au niveau, hausse du pouvoir d'achat largement supérieure à nos voisins européens, notamment pour les plus pauvres. Les grands risques restants le niveau de la dette et le défi climatique, deux sujets sur lesquels les extrêmes ne proposent rien si ce n'est de dépenser sans compter ou d'appliquer des dogmes déconnectés des réalités.
Rien n'y fait, le suicide économique et moral, incarné par l'extrême droite, tient la corde, à moins d'un sursaut de conscience.
Quid des relations inter-entreprises ?
Il est encore trop tôt pour connaître les effets exacts d'un tel changement, s'il advient. Est-ce que le risque crédit va augmenter ? Les retards de paiement et les impayés se multiplier pour les entreprises ?Il est clair que l'augmentation de ces risques déjà présents doivent être anticipés par les entreprises en intégrant dans leur processus de vente les principes du credit management et d'intégrer les outils digitaux leur permettant de les mettre en œuvre de manière efficace.
La combinaison de ces processus, outils et mécanismes assurent à l'entreprise une grande capacité d'adaptation et de réaction à des événements imprévisibles. Dans ces temps d'incertitude, l'agilité ainsi que la capacité absorber un choc et à réagir sont essentiels. La trésorerie est plus que jamais reine, et sa gestion précise plus que jamais nécessaire.