Le commerce international est très spécifique et se distingue considérablement du commerce domestique.
Ses réalités sont multiples en fonction du secteur d'activité, du pays de l'acheteur et du montage de l'affaire.
Si les moyens de paiement et les outils de sécurisation utilisés ne sont pas très nombreux, des confusions peuvent porter préjudice à cause d'une certaine ambiguïté linguistique dans leur désignation.
Ainsi, la lettre de crédit qui est communément énoncée désigne en réalité le crédit documentaire, ce qu'elle n'est pas alors que la lettre de crédit standby et la lettre de crédit, pourtant proches dans les mots, sont complètement dissociables l'une de l'autre.
Retrouvez nos tutoriels sur chacun de ces outils pour éviter toute confusion et faire les bons choix lors de vos négociations commerciales :
Ses réalités sont multiples en fonction du secteur d'activité, du pays de l'acheteur et du montage de l'affaire.
Si les moyens de paiement et les outils de sécurisation utilisés ne sont pas très nombreux, des confusions peuvent porter préjudice à cause d'une certaine ambiguïté linguistique dans leur désignation.
Ainsi, la lettre de crédit qui est communément énoncée désigne en réalité le crédit documentaire, ce qu'elle n'est pas alors que la lettre de crédit standby et la lettre de crédit, pourtant proches dans les mots, sont complètement dissociables l'une de l'autre.
Retrouvez nos tutoriels sur chacun de ces outils pour éviter toute confusion et faire les bons choix lors de vos négociations commerciales :
- Gérer le risque à l'export : quels sont les principaux risques à l'export et les outils pour les maîtriser ?
- Le crédit documentaire : zoom sur cet outil ancestral qui est toujours très utilisé.
- La lettre de crédit : le formalisme du crédoc sans la sécurisation apporté par une banque notificatrice et confirmatrice.
- La lettre de crédit standby : très différente de la première, il s'agit uniquement d'une garantie de paiement et non d'un moyen de paiement.
- La remise documentaire : un outil souple pour le vendeur et l'acheteur mais qui ne procure qu'un très faible niveau de sécurisation.
- Les assurance single risk : assurances spécifiques dédiées à l'export pour des affaires d'un montant significatif (plus de 1 M€).