Les échanges commerciaux sont vieux comme le monde.
La notion de recouvrement, issue du verbe latin recuperare désignant l'action de récupérer quelque chose, est particulièrement ancienne. En effet, durant l'Antiquité, les échanges étaient rarement instantanés du fait des distances à parcourir pour les marchandises, et la lenteur des moyens de transport accentuaient la durée des transactions. Il était d’usage de réduire en servitude un débiteur qui ne s’était pas acquitté de sa dette !
Les temps ont heureusement bien changé et aujourd’hui le maintien d’une relation commerciale saine est optimisée grâce à une bonne gestion du poste client.
Mais quand est-il alors des délais de paiement, qui eux, continuent de s’allonger ?
Bercy a pris la mesure du problème. Le Ministère de l’Économie lutte contre ce fléau à travers un arsenal de mesures législatives et réglementaires et des sanctions sont prisent contre les mauvais payeurs.
Ainsi, 2 600 contrôles ont été conduits en 2017 pour 230 sanctions prononcées, dont certaines contre des groupes majeurs, comme EDF qui a écopé en 2019 d’une amende record d’1,8 million d’euros. Mais l’actuelle politique de contrôle et de sanction montre des limites. Il est difficile pour l’administration de contrôler des centaines de millions de transactions commerciales effectuées chaque année, sur le territoire français.
Nous avons déjà parlé de la cotation FIBEN (fichier bancaire des entreprises de la Banque de France) qui va tenir compte en 2022 des retards de paiement en intégrant une analyse spécifique liée aux délais de paiement et qui concerne 3 000 entreprises.
Quelles solutions peut-on envisager pour s'attaquer efficacement à ce problème ?
Si les retards de paiement forment un risque opérationnel notamment pour les PME alors il faut les traiter comme tels, en appliquant les principes de la gestion de risque : évaluer les dangers potentiels et mettre en place des processus pour en réduire l’impact, grâce notamment à des outils financiers.
C’est l’objectif premier de My DSO Manager, qui est le logiciel de recouvrement accessible pour toutes tailles d’entreprises. Ses avantages sont multiples :
La notion de recouvrement, issue du verbe latin recuperare désignant l'action de récupérer quelque chose, est particulièrement ancienne. En effet, durant l'Antiquité, les échanges étaient rarement instantanés du fait des distances à parcourir pour les marchandises, et la lenteur des moyens de transport accentuaient la durée des transactions. Il était d’usage de réduire en servitude un débiteur qui ne s’était pas acquitté de sa dette !
Les temps ont heureusement bien changé et aujourd’hui le maintien d’une relation commerciale saine est optimisée grâce à une bonne gestion du poste client.
Mais quand est-il alors des délais de paiement, qui eux, continuent de s’allonger ?
Bercy a pris la mesure du problème. Le Ministère de l’Économie lutte contre ce fléau à travers un arsenal de mesures législatives et réglementaires et des sanctions sont prisent contre les mauvais payeurs.
Ainsi, 2 600 contrôles ont été conduits en 2017 pour 230 sanctions prononcées, dont certaines contre des groupes majeurs, comme EDF qui a écopé en 2019 d’une amende record d’1,8 million d’euros. Mais l’actuelle politique de contrôle et de sanction montre des limites. Il est difficile pour l’administration de contrôler des centaines de millions de transactions commerciales effectuées chaque année, sur le territoire français.
Nous avons déjà parlé de la cotation FIBEN (fichier bancaire des entreprises de la Banque de France) qui va tenir compte en 2022 des retards de paiement en intégrant une analyse spécifique liée aux délais de paiement et qui concerne 3 000 entreprises.
Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire se dit ouvert à une réflexion autour d’une réduction progressive des délais légaux de paiement inter-entreprises qui peuvent aller actuellement jusqu'à 60 jours, rappelant avant tout, à ce que cette règle du paiement à 60 jours soit respectée. Il dénonce l’individualisme de certaines entreprises et les incite à réfléchir à « introduire cette question du respect des délais de paiement (...) dans leur raison d'être ou dans l'ensemble des mesures sociales ou environnementales qu'elles peuvent présenter à leurs actionnaires ».
Quelles solutions peut-on envisager pour s'attaquer efficacement à ce problème ?
Si les retards de paiement forment un risque opérationnel notamment pour les PME alors il faut les traiter comme tels, en appliquant les principes de la gestion de risque : évaluer les dangers potentiels et mettre en place des processus pour en réduire l’impact, grâce notamment à des outils financiers.
C’est l’objectif premier de My DSO Manager, qui est le logiciel de recouvrement accessible pour toutes tailles d’entreprises. Ses avantages sont multiples :
- accélérer les encaissements grâce à un recouvrement et une gestion des litiges efficaces ;
- gérer ses limites de crédit et polices d'assurance-crédit ;
- réaliser et détailler ses analyses crédit sur la base d'informations complémentaires provenant de fournisseurs d'informations financières et des indicateurs tels que les profils payeurs inclus dans My DSO Manager ;
- effectuer des scoring personnalisés, et piloter le risque grâce aux alertes, à l’agenda et au rapport risque.