Bercy joue son rôle sur le front des délais de paiement !
Les entreprises qui ne respecteraient pas les délais de paiement contractuels avec leurs fournisseurs n'auront pas droit à la garantie des prêts de l’État, a prévenu mardi le ministre de l’Économie Bruno Le Maire.
En multipliant les interventions dans les médias, en répondant de manière claire et directe à certaines entreprises comme le Printemps ayant fait l'erreur d'informer leurs fournisseurs qu'ils ne seraient pas payés (beaucoup font de même mais sans communiquer), et en réaffirmant les principes du Name and Shame avec les sanctions financières à la clé, le ton est clairement donné quant à l'importance vitale du crédit inter-entreprises.
Le ministère utilisera tous ses pouvoirs pour sensibiliser sur ce sujet essentiel à la préservation du tissu économique français et réprimer les entreprises fautives de retarder volontairement leurs paiements fournisseurs.
L'objectif est d'éviter des défaillances en cascade, ou effet domino et de maintenir les entreprises à flot, condition sine qua non de la préservation de l'emploi, des revenus de l'état, etc.
Lire l'article de BFM
Les entreprises qui ne respecteraient pas les délais de paiement contractuels avec leurs fournisseurs n'auront pas droit à la garantie des prêts de l’État, a prévenu mardi le ministre de l’Économie Bruno Le Maire.
En multipliant les interventions dans les médias, en répondant de manière claire et directe à certaines entreprises comme le Printemps ayant fait l'erreur d'informer leurs fournisseurs qu'ils ne seraient pas payés (beaucoup font de même mais sans communiquer), et en réaffirmant les principes du Name and Shame avec les sanctions financières à la clé, le ton est clairement donné quant à l'importance vitale du crédit inter-entreprises.
Le ministère utilisera tous ses pouvoirs pour sensibiliser sur ce sujet essentiel à la préservation du tissu économique français et réprimer les entreprises fautives de retarder volontairement leurs paiements fournisseurs.
L'objectif est d'éviter des défaillances en cascade, ou effet domino et de maintenir les entreprises à flot, condition sine qua non de la préservation de l'emploi, des revenus de l'état, etc.
Au-delà des injonctions et des contrôles, il est impératif que chaque dirigeant, chaque société respecte ses engagements et les assume en effectuant les règlements de ses dettes fournisseurs à la date d'échéance des factures.
Il s'agit davantage de questions de civisme et de bon sens. Retarder ou bloquer ses paiements fournisseurs est d'ailleurs un mauvais calcul contre-productif que ce soit en termes d'image ou de gestion, particulièrement en cette période de crise.Lire l'article de BFM